Ce texte est issu de discussions et de réflexions entre mon travail de psychanalyste et celui de superviseuse. Je l’ai écrit suite à une discussion avec une assistante que je supervise. Elle me parlait de ses préoccupations concernant des entretiens avec de tout jeunes adolescents très inhibés et silencieux en séance avec elle. Cette difficulté récurrente l’avait conduite à se/me demander s’il n’aurait pas été plus judicieux de les adresser à des thérapeutes hommes ? J’ai alors essayé de réfléchir aux moyens de sortir de l’impasse dans laquelle elle se sentait prise avec eux.
Adolescence 2012, T. 30 n°3, pp. 649-657