A partir d’une séance de psychothérapie d’une adolescente de dix-neuf ans, l’auteur montre l’articulation entre le » récit d’action » dans la séance et l’espace externalisé hors séance dans lequel s’est déroulée cette action que nous raconte l’adolescente. L’auteur souligne l’effet de liaison et d’intégration pour les conflits internes de l’adolescence que permet l’utilisation d’un tel » espace thérapeutique élargi « , lorsqu’il peut se figurer dans l’après-coup de la cure analytique individuelle avec le thérapeute, sous l’égide de la névrose de transfert.