À partir de trois références différentes (un petit sondage, un livre de G. Haddad et deux vignettes cliniques), l’auteur essaie de poser quelques questions à propos des poignées de main échangées lors des séances de psychanalyse ou de psychothérapie ; une façon par le biais de cet aspect du cadre, d’interroger la place du corps dans la cure, et son éventuelle « mise en séance ».