L’esthétique de la subjectivation adolescente est mise à l’épreuve par une mise en parallèle de ces deux ensembles. L’adolescent y devient l’oeuvre des processus d’adolescence, créée pour un grand Autre ayant le secret de la référence.
La procédure est inscrite dans l’élaboration de l’idéal du Je par les processus « adolescents ». Le mécanisme d’idéalisation de l’objet y semble fondamental. Le jugement de valeur esthétique renvoie à la dimension esthétique des idéaux. Il serait possible à partir de ces points de vue de réfléchir sur la conception du beau et du laid chez les adolescents ordinaires et pathologiques.