Es necesario que hablemos de Kevin, el roman epistolar de L. Shriver, ofrece un paetrial clínico que interroga la racionalidad de una conducta asesina de un adolescente asesino de once personas en la América de los años ochenta . Nos dieron a leer el sufrimiento vinculado al trabajo de maternaje y lo educativo – el trabajo maternal-así como las imposibilidades de este lo cual, parece ser el corazón del comportamiento asesino. Es así, que los vínculos entre la violencia el pensamiento y la cultura se hallan interrogados.
Il faut qu’on parle de Kevin, L. Shriver’s epistolary novel, offers clinical material exploring the homicidal behavior of an adolescent boy who kills eleven people in the America of the 1980’s. It tells of suffering linked to the work of motherhood and education – maternal work – as well as the failure of these, which seems to be the source of the homicidal conduct. The links between violence, thought and Kultur will be investigated.
Il faut qu’on parle de Kevin, roman épistolaire de L. Shriver, offre un matériel clinique interrogeant la rationalité d’une conduite meurtrière d’un adolescent tueur de onze personnes dans l’Amérique des années 80. Nous sont donnés à lire la souffrance liée au travail de maternage et éducatif – le travail maternel – ainsi que les achoppements de celui-ci qui semblent au cœur de la conduite meurtrière. C’est ainsi les liens entre violence, pensée et Kultur qui se trouvent ici réinterrogés.
Adolescence, 2018, 36, 1, 195-212.
Revue semestrielle de psychanalyse, psychopathologie et sciences humaines, indexée AERES au listing PsycINFO publiée avec le concours du Centre National du Livre et de l’Université de Paris Diderot Paris 7