Les auteurs considèrent le langage comme étant le lieu où les sujets tissent et retissent leur identité. Ils examinent ce que la post-modernité actuelle est en train de changer dans nos façons de parler. Ils font l’hypothèse qu’une novlangue est en cours de constitution, susceptible d’influencer grandement les conditions de la subjectivation et de la socialisation, au moment-clé de l’adolescence.
Adolescence, 2009, T. 27, n°4, pp. 941-957.