En un contexto de enfermedad grave, las especificidades ordinarias del trabajo adolescente se ven marcadas de problemáticas inherentes al cuerpo enferme, particularmente, el dominio de la dimensión biológica y del carácter letal. Dos novelas, aparecidas recientemente permiten de comprender como es que la configuración psíquica y fantasiosa que resultan, infiltran las reorganizaciones del periodo de la pubertad en las cuales figuran las cuestiones de lo sexual, la sexualidad y las relaciones amorosas durante la adolescencia.
La entrada en la dinámica de la pubertad generalmente marca el fin del período de la laltencia. ¿Qué ocurre en el contexto de una enfermedad cancerígena, cuando el tratamiento provoca un movimiento de desexualizacion. A partir de experiencias clínicas y de entrevistas de investigación llevadas a cabo en un servicio de hospital para adolescentes y jóvenes adultos ; los autores interrogan los efectos de la enfermedad grave sobre las modalidades de salida del periodo de latencia y el advenimiento de las reorganizaciones genitales.
Generally speaking, the onset of the pubertary dynamic signals the end of the latency phase. But what happens in the case of cancer if treatments have a desexualizing effect on the patient? By means of clinical experiences and interviews in a hospital ward for adolescents and young adults, the authors of this article explore the effects of serious illness on ways of emerging from the latency phase and the start of genital reorganization.
Dans le contexte de maladie grave, les spécificités propres au travail d’adolescence ordinaire se voient teintées de problématiques inhérentes au corps malade, notamment l’emprise de la dimension biologique et du caractère létal. Deux romans parus récemment permettent de saisir comment les configurations psychique et fantasmatique qui en découlent infiltrent les réorganisations pubertaires au cœur desquelles figurent les questions du sexuel, de la sexualité et des relations amoureuses à l’adolescence.
L’entrée dans la dynamique pubertaire marque généralement la fin de la latence. Qu’en est-il dans le contexte d’une atteinte cancéreuse dont les traitements provoquent un mouvement de désexualisation ? À partir d’expériences cliniques et d’entretiens de recherche menés dans le cadre d’un service hospitalier pour adolescents et jeunes adultes, les auteurs interrogent les effets de la maladie grave sur les modalités de sortie de la latence et l’avènement des réorganisations génitales.
Adolescence, 2016, 34, 3, 539-549.
Revue semestrielle de psychanalyse, psychopathologie et sciences humaines, indexée AERES au listing PsycINFO publiée avec le concours du Centre National du Livre et de l’Université de Paris Diderot Paris 7