Cet article part du cas d’un lycéen qui refuse l’enseignement qui lui est donné, et montre comment ce refus peut être sous-tendu par la nécessité de préserver une identité qui se sent mise en question par l’enseignement proféré. Il s’agira de montrer dans quelle mesure la transmission enseignante peut engager pour celui qui la reçoit une réorganisation de l’identité, dont l’originalité se trouve ainsi problématisée.
Adolescence, 2017, 35, 2, 371-379.