À partir d’une enquête sociolinguistique auprès de jeunes montreuillois et ouraliens, fréquentant les studios de rap d’Île-de-France et de Tcheliabinsk (Russie), l’auteur met en évidence le fait que leurs pratiques langagières constituent des pratiques d’action. Celles-ci seraient liées au besoin de dénonciation et d’expression des mots ou maux vécus.
Adolescence, T. 31 n°1, pp. 227-234.