Cet article s’intéresse aux nouvelles formes de l’amitié, dérivées des potentialités de contacts entre réalité et virtualité, et à leurs conséquences sur l’aménagement de la subjectivation à l’adolescence. Nous proposons une réflexion sur ces nouvelles formes « d’amitiés connectées » et nous discutons le risque de dérives passionnelles venant potentiellement bloquer ou pathologiser le second processus de séparation-individuation.
Adolescence, 2015, 33, 1, 99-111.