Les récits de conduites de prostitution font état de besoin d’agir fébrile, d’actes sexuels répétitifs, compulsifs Se prostituer pour fuir un état psychique pénible, préférer la voie de la décharge à travers un acte magique plutôt que d’être débordé affectivement ?
En travesti sur les trottoirs ou exhibé sur la scène des cabarets être admiré, omnipotent, pouvoir tout se procurer ?
La pratique sexuelle de la prostitution tente-t-elle de réparer un sentiment d’identité mal assuré ? Sur des assises narcissiques précaires la prostitution intervient-elle comme tentative d’auto-guérison ?