Cet article constitue pour nous l’occasion de présenter et d’interroger un dispositif de médiation corporelle à destination d’adolescents hospitalisés dans une unité de pédopsychiatrie. Il s’agira de montrer comment la proposition d’utiliser des tissus et le mime, comme espace de mobilisation du corps, peut constituer un support à la subjectivation et à la transformation psychique, tout spécialement à cette période-là de la vie.
Adolescence, T. 31 n°1, pp. 49-63.