Lorsque l’auteur (M. Hatzfeld) parle de la « vitalité sauvage » jaillissant dans le sillage de la jeunesse, je pense que les processus d’adolescence sont le vivant de la jeunesse ; sublimation pubertaire bien à tort interprétée par la réponse sociale comme transgression. La liberté créatrice, concevons-la ainsi n’est jamais seule.
Adolescence, 2011, T. 29 n° 3, pp. 673-676.