Les mouvements passionnels de transfert sont illustrés par la présentation d’une cure d’une adolescente atteinte d’un spina-bifida.
Haine du corps devenu pubère, crainte de ne pas se sentir aimée, identifications secondaires mises à mal viennent se télescoper dans un transfert passionnel à l’image d’une féminité aspirée par l’homosexualité, entre rejet et idéalisation.