Cet article tente d’apporter un nouvel éclairage sur la notion de subjectivation, en privilégiant la perspective des devenirs-sujet au sein des dispositifs spéculaires transférentiels. Deux séquences cliniques mettant en œuvre ces devenirs-sujet à travers la figuration onirique, puis à travers le passage par le négatif, permettent ici d’appréhender les singularités des temps identifiants.