À la “ libération sexuelle ” des années soixante succèdent, de nos jours, des phénomènes sociaux équivoques : propagande pour l’homosexualité, traque de la pédophilie, hantise du harcèlement sexuel. En fait, à la libération s’est parfois substitué un militantisme ignorant du véritable sens de la “ théorie sexuelle ” de Freud, et en particulier d’une idée émise par lui dès 1895, à savoir que certains symptômes névrotiques résultent de l’“ isolation ” et de l’“ exagération ” des éléments constitutifs de l’acte sexuel “ normal ”.