Après un encadrement socio-anthropologique de ce que l’on appelle les mutilations féminines génitales, est examiné, à travers une séquence clinique, leur envers inconscient le plus profond. De telles pratiques sociales éclairent à leur tour le fondement inconscient de certaines manifestations cliniques, surtout en ce qui concerne les adolescents et leurs « rites de passage » singuliers.
Adolescence, 2013, T. 31, n°3, pp. 723-741.