Les auteurs étudient dans quelle mesure la violence peut être facilitée par les réseaux sociaux qui promeuvent une communauté idéale dans laquelle les membres sont liés par un lien d’amour et où les différences et l’agressivité sont activement déniées. Il n’est pas question de considérer les réseaux en eux-mêmes comme une source de conflits psychiques, mais d’étudier l’effet de régression qu’ils peuvent induire sur les adolescents.
Adolescence, 2022, 40, 2, 337-347.