Nous tenterons de montrer que la clinique des hallucinations à l’adolescence, souvent reléguée du côté de « symptômes ou processus psychotiques », se situe aux frontières du processus de subjectivation réengagé et remanié à cet âge. À partir de deux situations, nous interrogerons cette clinique et ce qu’elle peut nous enseigner de l’actuel des subjectivités, au-delà de la norme œdipienne.