Dans Les poétiques du corps, Sylvie Le Poulichet poursuit son exploration des registres cliniques de l’informe ou de l’impersonnalité. L’accent est ici porté sur le rôle des terreurs archaïques et sur les défauts de transmission à propos des origines, lesquels vont tantôt être la cause de défauts de « prise de corps », tantôt être à l’origine d’identifications d’angoisse ou encore être responsables de la création de théories fantastiques à l’adolescence.
Adolescence, 2019, 37, 1, 177-190.