Peu de délits sont établis chez les jeunes filles relativement à leurs homologues masculins. Délits et crimes ne sont toutefois pas les seules formes d’expression de la violence et de la transgression auxquelles sont confrontées, passivement ou activement, les jeunes filles. Ces formes diverses questionnent la spécificité féminine de certains modes transgressifs, violents et non-violents, et leur traitement socio-judiciaire. Ce puzzle sémiologique est un champ ouvert à la recherche.
Adolescence, 2018, 36, 1, 13-21.