Si l’adoption à l’adolescence se passe souvent sans de graves écueils, il existe néanmoins des situations où la collusion entre les aspects traumatiques liés au passé de l’enfant et sa réactivation à l’adolescence, et la vulnérabilité des parents, empêchent toute affiliation, toute greffe. L’auteur a appelé ces situations de grande détresse individuelle et familiale, états de survivance, en référence aux écrits de J. Altounian.
Adolescence, 2016, 34, 4, 743-752.