L’adoption n’est pas un critère prédictif de troubles psychopathologiques à l’adolescence. Toutefois, l’expérience clinique révèle qu’il existe une inclination à l’agir chez certains adolescents adoptés « potentiellement vulnérables » car présentant une fragilité narcissique.
Adolescence, 2016, 34, 4, 785-794.