Commentant J. Lacan en tant que lecteur de Freud, l’auteur remarque chez l’un comme l’autre l’importance de l’idéal du moi à l’occasion de ce qu’ils nomment la « puberté ». Ce terme dénué de tout biologisme remplace chez eux notre moderne « adolescence ». C’est un avatar de ce processus que J. Lacan dénonce dans le déclenchement d’une psychose, à savoir l’impossibilité pour le sujet d’introjecter l’idéal du moi jusqu’alors projeté.
Adolescence, 2016, 34, 2, 305-308.