À partir de deux lettres inédites envoyées par D. W. Winnicott à A. Freud en février 1957, nous remettons en question la représentation selon laquelle, malgré des désaccords théoriques, D. W. Winnicott serait resté plus proche des idées proposées par M. Klein et plus à l’écart de celles d’A. Freud. Nous mettons en exergue l’intérêt de D. W. Winnicott pour l’adolescence qui, loin d’être un sujet secondaire pour lui, traverse différentes époques de son parcours et sera davantage partagé avec A. Freud.
Adolescence, 2015, 33, 4, 911-923.