L’article propose d’envisager la spécificité des psychothérapies à l’adolescence à partir de deux cas cliniques. Le premier évoque une forme « d’idéal d’être là » où le clinicien est un interlocuteur bienveillant accompagnant les remaniements intrapsychiques de l’adolescent. Dans le second, le désordre familial, entre autres, entrave la rencontre avec l’adolescent dans l’ici et maintenant de la séance.
Adolescence, 2014, 32, 3, 599-608.