L’auteur illustre combien les résistances parentales peuvent faire le lit de la psychopathologie de l’adolescent. L’exposé d’une situation problématique de suivi thérapeutique permet de rappeler quelques principes concernant la prise en charge des familles. Il propose de penser la phobie scolaire comme un syndrome post- traumatique plutôt que comme une histoire névrotique, mais insiste sur le poids, dans le développement de l’adolescent, des idéaux infantiles parentaux non introjectés.
Adolescence, 2014, 32, 3, 464-479.