À partir d’une étude de cas, les auteurs montrent la valeur opératoire d’un dispositif thérapeutique psychophénoménologique articulant une instance phénoménologique, où s’élabore un travail enactif du processus originaire par et dans le mouvement, et une instance psychanalytique où s’effectue la mise en représentation des processus primaire et secondaire. Cette proposition psychothérapique permet à l’adolescent, enfermé dans des passages à l’acte, une métabolisation originale de son agressivité.
Adolescence, 2014, 32, 2, 363-376.