À partir de la question de l’engagement dans un travail psychothérapique de sujets adolescents, nous interrogeons le passage des entretiens préliminaires à ceux où un travail effectif a lieu, à travers deux points dialectisés : l’intervention d’une tiercéisation dans la relation apparemment duelle de l’entretien psychothérapique, et le passage du “ on ” au “ nous ” dans le langage du patient, négligé grammaticalement, retenu par nous comme significatif de l’avènement du sujet.