À partir d’un nombre important d’urgences psychiatriques à l’adolescence (540 moins de 18 ans en 2001), le lien du passage à l’acte à la situation d’urgence à l’adolescence est exploré : la psychiatrie moderne ne tend-elle pas à définir une psychiatrie de l’acte ?
Celui-ci dépend de causes internes à l’adolescence mais aussi de l’environnement. Dès lors, le travail face à ces situations se définit à la fois par la constitution du service d’urgence comme cadre interne et à la fois par le développement d’un réseau externe.
L’évolution d’un service pour accueillir l’urgence psychiatrique à l’adolescence peut ainsi être décrite.