Dans cet article, il s’agit de distinguer la « parano » ou « paranoïa du lien » de la structure paranoïaque. À l’adolescence, le sujet se confronte à la panne de l’Autre. Une façon de parer à cette chute, c’est de le faire exister comme son persécuteur. Ainsi la « paranoïa du lien » trouve sa raison d’être, dans cette crise du rapport à l’Autre.
Adolescence, 2008, T. 26, n°3, pp. 697-707.