Je ne partage pas l’idée de changements en profondeur de l’adolescence – qui reste une crise narcissique – et pas davantage de la psychanalyse et de la psychothérapie des adolescents. Par contre, le champ socioculturel s’est modifié et, peut-être, les thérapeutes en font-ils les premiers les frais.
Adolescence, 2011, T. 29 n°2, pp. 231-235.