Jérôme Glas : le corps « blessé » de l’analyste

L’auteur montre comment, dans les vécus contre-transférentiels de précessions, le corps blessé de l’analyse peut se donner à être investi comme tenant lieu de représentation de transposition des fantasmes inconscients de castration du patient. Et comment la précession du contre-transfert se doit d’être entendue comme un outil précieux de repérage métapsychologique de la processualité inconsciente, avant même la toute première rencontre analytique.

Adolescence, 2016, 34, 3, 633-644.