Vincent Cornalba, Jacques Dayan : bivalence de la sensorialité

Le recours au sensoriel relèverait d’une bivalence, à partir d’effets de liaison et de déliaison. L’idée de trans-figuration se prête à la représentation d’un jeu en figurations dont l’autre est le partenaire incontournable. L’insistance avec laquelle le corps s’inviterait dans le pubertaire ne serait pas, à tout coup, interprétable en sa condition d’accroc. Il pourrait également se mesurer en sa qualité d’accroche, et apparaître dans son rôle d’opérateur au sein même du processus de subjectivation.

Adolescence, 2014, 32, 4, 687-693.